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Un hard-top qui se présente bien de loin sous sa couche de poussière.
En fait la peinture commence à être piquée par la rouille
le ciel de toit est sale et déchiré. Il est temps de lui faire subir
une rénovation.
Tout d'abord un démontage des joncs et de toutes les garnitures.
(Cliquez sur les images pour les agrandir)
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Sous l'isolant collé sur le toit,
le bon de contrôle qualité daté de novembre '73.
Ouf, le joint de la vitre arrière est en bon état sous la couche de crasse.
Par contre l'humidité a stagné sous le joint et a corrodé le bas du hard-top.
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Pour se donner du coeur à l'ouvrage un nettoyage des attaches.
Et on peut s'attaquer au ponçage.
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Meulage et dépointage de la tôle corrodée du coin inférieur de lunette sur une cinquantaine
de centimètres.
Le renfoncement de la charnière de malle arrière y est aussi passé.
Le plus dur a été de plier la tôle neuve qui doit épouser la forme du joint
avec en plus un galbe.
Un bout de tôle neuve, on ressoude tout ça, wash-primer, apprêt garnissant, et une couche d'impression noire.
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Après un ponçage de la couche de peinture,
direction l'atelier du carrossier-peintre pour la touche finale.
Black is beautiful
Puis arrive le morceau de bravoure : la pose du ciel de toit (fournisseur M. DeCillia).
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Repose du snap-on blanc d'origine complètement jauni (temporaire en attendant la commande ENPI), pour assurer la tension
du ciel, et repose de la vitre arrière.
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